Marie-Josée Jacques, fière ambassadrice du PLQ

Marie-Josée Jacques a été annoncée à titre de candidate libérale en mai dernier lors du passage de sa cheffe Dominique Anglade à Nicolet. Depuis, elle n’a pas chômé, dit-elle: « Je suis allée à la rencontre de beaucoup de monde. J’ai pris le pouls de la population sur ce qui les préoccupe à tous les jours. On a monté notre organisation et mobilisé le plus de monde [possible] pour m’aider dans le déroulement de cette campagne. »

La candidate est heureuse de l’accueil respectueux et positif reçu sur le terrain. « Parfois, les gens sont surpris qu’on cogne à leur porte pour se présenter, mais ils sont généralement contents de nous voir. S’ils n’ont pas envie de nous parler, ils vont nous le dire ouvertement, mais poliment. C’est vraiment positif [comme expérience] », dit-elle.

Ce rapprochement avec la population amène plein de discussions intéressantes. Plusieurs sujets sont récurrents, comme la hausse du coût de la vie et la crainte de perdre certains services de proximité, notamment en santé. « Les gens sont inquiets. Ils se demandent comment ils vont faire pour payer leur loyer ou leur épicerie. Ils commencent à avoir peur de ne pas arriver. Ils ont aussi peur de perdre leur médecin de famille ou de ne pas pouvoir y avoir accès. La population est vieillissante et c’est préoccupant pour eux. »

Ce sont d’ailleurs ces discussions qui font la fierté de Mme Jacques dans cette campagne: « J’arrive à discuter avec les gens, à avoir leur attention, [qu’on ait la même allégeance politique ou non]. Je le fais à tous les jours et j’en suis fière ».

Marie-Josée Jacques est convaincue que son parti peut réellement « faire quelque chose » pour le comté et souhaite qu’un maximum de gens s’intéressent à la plateforme du PLQ. «On leur présente une vision d’avenir. Ça touche tout le monde », dit-elle. 

Pour le reste de la campagne, elle continuera à aller au-devant des citoyens et des élus. « C’est un travail de tous les jours mais ce n’est pas différent de mon rythme de vie [habituel]. C’est une belle expérience et le message passe bien. »