Vent de construction autour du Faubourg Mont-Bénilde

CONSTRUCTION. Entamée depuis plus d’un an, la phase 1 du nouveau développement domiciliaire à Sainte-Angèle-de-Laval, en bas du Faubourg Mont-Bénilde, tire bientôt à sa fin. Une quarantaine de terrains seront donc disponibles prochainement et il semble qu’une dizaine aient déjà trouvé preneur.

De plus, dans les prochaines semaines, on développera une nouvelle rue, de l’avenue des Jasmins au Mont-Bénilde, sans compter qu’une dizaine de triplex et jumelés seront construits dans le secteur.

Quant à la construction des trois tours de 22 condos, le projet est toujours dans les cartons. «On a toujours l’intention de les construire, mais on a choisi de miser davantage sur le développement domiciliaire pour commencer, soutient le promoteur Steve Garceau, propriétaire du Faubourg Mont-Bénilde. Je commencerai la pré-vente sous peu et si on voit que la demande est forte, alors la construction pourrait débuter cet automne. Sinon, ça pourrait aller au printemps.»

On se souviendra qu’il y avait aussi un projet de résidence pour personnes âgées sur la table, qui serait construite à proximité de la bâtisse principale du Mont-Bénilde. «On a fait faire une étude de marché pour ce projet et on attend les résultats d’un jour à l’autre. Si tout va bien et qu’on va de l’avant avec ce projet-là, on envisage que la construction débuterait au printemps prochain», mentionne M. Garceau.

Enfin, en ce qui concerne le volet «sportif» du développement, rappelons qu’il était initialement prévu l’aménagement d’un aréna comprenant 2 glaces de dimension olympique. Or, le projet s’est quelque peu transformé. «Si on construit un bâtiment à vocation sportive, on y intégrera une surface pour du soccer intérieur, du dekhockey et 4 terrains de tennis.»

Steve Garceau affirme que si ce projet se concrétise, ce sera à plus long terme. «De toute façon, pour le moment, avec l’école alternative dans le Mont-Bénilde et l’arrivée imprévue des élèves de l’école Le Rucher, les terrains à l’arrière du bâtiment principal sont plus occupés qu’on ne l’aurait cru il y a quelques mois», conclut le promoteur.