Une percée à l’international pour Pierre Chatillon

LITTÉRATURE. Le nouveau roman de l’auteur nicolétain Pierre Chatillon fera l’objet d’une distribution internationale.

Son dernier ouvrage intitulé «La danse de l’aube» sera en effet mis en vente vers la mi-février, autant au Québec, en France qu’en Afrique puisque que l’action se déroule sur trois continents. L’œuvre est publiée par L’Harmattan, qui est le plus grand éditeur français en nombre de titres.

Son livre est un récit qui se développe au Québec, en Provence, au Brukina Faso, en Côte d’Ivoire, de même qu’en Espagne et en Californie. C’est celui d’un Québécois qui se souvient d’une rencontre qui a changé sa vie durant la jeune vingtaine, soit celle d’une Américaine qui rêvait de devenir danseuse de flamenco.

Le roman, dit-on, est une bouleversante histoire de passion et de nostalgie où voisinent l’exubérance, la tragédie, l’émerveillement de la jeunesse et la tristesse du vieillissement. Le bilan d’une vie exceptionnelle.

Pour Pierre Chatillon, il s’agit d’un retour à l’écriture du roman qu’il avait quelque peu délaissé au cours des dernières décennies. L’écrivain compte trois autres romans à son actif, soit «La Mort rousse» (1974) et «Le Fou» (1975), publiés aux éditions Stanké, à Montréal.

Il avait également été publié en France pour son roman «Philédor Beausoleil» (1978) qui avait été édité par Robert Laffont, à Paris, et Leméac, à Montréal. Les personnages de légende de ce roman sont d’ailleurs représentés dans la sculpture centrale du Parc littéraire près du Musée des religions du monde, à Nicolet.

En 2013, Kathe Roth avait traduit son premier roman qui avait été publié par Bookland Press, à Toronto, sous le titre «Wild Red Love».

Depuis 1968, il a écrit une trentaine d’œuvres de différents genres littéraires tels que la poésie, le conte, la nouvelle, l’essai, le récit et l’autobiographie, en plus de lancer six disques de musique classique.