L’animateur Éric Lachapelle en nomination à l’ADISQ
L’animateur de l’émission «En attendant l’apéro», sur les ondes du FM 90,5, est finaliste aux «Rencontres de l’ADISQ», dans la catégorie Animateur (trice) ou chroniqueur (euse) culturel (le) de l’année – Station de radio, marché régional.
C’est la deuxième année consécutive qu’Éric Lachapelle se retrouve en lice. «L’année dernière, la surprise était des plus totales, se souvient-il. Nous sommes cinq finalistes pour l’ensemble des stations radiophoniques touchant un marché régional. Ça inclut donc beaucoup de gens!»
Même s’il ne se définit pas comme un animateur culturel, le communicateur avoue que cette nomination lui «fait un velours». Pour lui, cela signifie que les intervenants du milieu de la musique apprécient son travail et ses démarches.
«Au cours d’une année, tout animateur contacte beaucoup d’agents de promotion, de gérants d’artiste et autres intervenants liés au monde de la musique. Comme j’ai l’impression que l’ADISQ se tourne faire eux pour établir la liste des finalistes, j’en conclus que mon approche envers eux est appréciée», explique Éric Lachapelle.
Cependant, pour lui, tous les animateurs de radio contribuent, à leur hauteur, à favoriser la diffusion de la musique des artistes québécois. «Ça fait vraiment partie du boulot», résume-t-il.
La soirée de remise des prix aura lieu le 3 avril, à Montréal. «Je ne compte pas y être, car je ne vois pas l’utilité que j’y aurais», admet l’animateur.
Une nomination, ça ne change pas le monde, sauf que…
«C’est sûr que je suis content pour moi, mais sans plus. Je suis surtout content pour la station, qui a vraiment évolué dans les dernières années. Maintenant, le FM 90,5 fait partie des adresses auxquelles les intervenants pensent lors des tournées de promotion», souligne M. Lachapelle.
«C’est une joie aussi pour nos auditeurs, ajoute-t-il. Parce que même s’ils ont choisi une station plus modeste et qui est plus près d’eux, ils ne sont plus privés de rencontres avec leurs artistes. Et en ce sens, c’est ce qui me rend le plus fier.»