Sports et potins

ENTRE-FILETS. Il y avait plusieurs sportifs lors de l’annonce de la création du Fonds JEAN-PHILIPPE PARR, la semaine dernière, par le philanthrope RENÉ BÉRUBÉ qui est déjà derrière celui pour YVES BOURQUE.

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À commencer par le député de Nicolet-Bécancour, DONALD MARTEL, qui a accueilli tout ce beau monde à son bureau de la Tour Télébec. Celui qui a joué pour les Cascades de Shawinigan dans la Ligue de baseball majeur du Québec a témoigné qu’il aurait bien aimé connaître une carrière de baseballeur, mais qu’il lui manquait quelques pouces!

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Ce n’est pas ce qui manque à JEAN-PHILIPPE PARR, qui a déjà une stature impressionnante pour un jeune homme de 14 ans. Juste vous dire que même du haut de mes six pieds, je me sentais petit à ses côtés!

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Son père JEAN-SÉBASTIEN PARR, qui le suit sur les allées depuis son tout jeune âge assure que son fils prend son sport très au sérieux, et ce, sans mettre de côté ses études. Une bonne nouvelle, puisque des Universités américaines ont même commencé à cogner à la porte en vue de l’attirer dans leurs rangs.

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Celui qui étudie maintenant au programme scolarisation à distance de l’Académie les Estacades, avait maintenu une moyenne de 85 % en 2e secondaire au CNDA. Ses performances sur le terrain et ses résultats scolaires lui ont valu une bourse d’excellence académique de 2000$.

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Celle-ci provenait de la Fondation de l’athlète d’excellence au sein duquel œuvre ANNIE PELLETIER, une médaillée olympique en plongeon des Jeux d’Atlanta en 1996, qui agit maintenant comme directrice des communications.

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Le pilote MARC-ANTOINE CAMIRAND était également sur place pour lui lancer quelques mots d’encouragement en plus de souligner l’importance du financement pour les athlètes de pointe. Il faut dire qu’il a vécu sensiblement la même chose en étant propulsé dans le monde de la course automobile à l’âge de 12 ans. «La persévérance, ça finit toujours par payer», lui a-t-il conseillé.

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Celui-ci est toujours en attente de signer un nouveau contrat pour un volant à temps plein, l’an prochain, mais il est confiant d’en arriver à une entente d’ici quelques semaines avec son commanditaire GM PAILLÉ pour reprendre là où il avait laissé, l’an dernier, en série NASCAR Pinty’s.

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Il m’a aussi confié avoir encore sur le cœur la manœuvre douteuse de JEAN-FRANÇOIS DUMOULIN au Grand-Prix de Trois-Rivières. C’est d’ailleurs à partir de cet accrochage que sa saison a pris un autre tournant alors qu’il était à ce moment-là au plus fort de la course au championnat.

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Le pilote de Saint-Léonard-d’Aston est toujours en attente de sa première course sur terre battue, lui qui devait prendre le volant d’un stock-car de l’équipe ONE pour deux courses cet été. «J’aimerais ça l’essayer. Je crois qu’ils ont eu des problèmes en début de saison et qu’ils ont finalement concentré leurs efforts sur une seule voiture», m’a-t-il raconté.

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Il y avait aussi une figure bien connue du golf dans la région qui tenait à être sur place. Le professionnel émérite GILLES BOURASSA, qui signe des chroniques sur le golf dans La Voix de Shawinigan puis L’Hebdo du Saint-Maurice depuis plus de 50 ans, est venu serrer la pince au jeune prodige.

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C’est lui qui a initié sa sœur JOCELYNE BOURASSA comme cadette alors qu’elle était âgée de 12 ans. L’élève avait rapidement dépassé le maître, elle qui est encore aujourd’hui considérée comme la meilleure golfeuse de l’histoire du Québec après un passage remarqué dans la LPGA.

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L’ancien capitaine du Club de Golf de Gentilly, LOUIS BEAUDET, était également sur place. Il est le président de la Fondation CLAUDE MONGRAIN qui remet des bourses à des jeunes athlètes de la relève et des espoirs de la région.