Camp du «Oui» 25 ans plus tard: blitz dans Nicolet-Bécancour
NICOLET. À la suite de l’élection de son nouveau chef, Paul St-Pierre Plamondon, le Parti Québécois a lancé, le jeudi 5 novembre, un blitz de financement sur la thématique « Dix jours pour donner au camp du OUI ». Celui-ci se déroulera jusqu’au dimanche 15 novembre prochain.
L’exécutif du Parti Québécois de Nicolet-Bécancour prendra part à ce blitz avec enthousiasme; celui-ci souligne d’ailleurs que l’arrivée d’un chef résolument rassembleur et assumant pleinement notre raison d’être comme formation politique, soit la souveraineté du Québec est une belle façon de prendre des nouvelles des membres du territoire.
«Nous avons, en ce moment, une belle énergie. Les sondages soulignent une réceptivité très grande à l’égard de notre projet, malgré tout ce que nos adversaires peuvent en dire. Aujourd’hui, nous demandons à toutes les Québécoises et à tous les Québécois qui souhaitent mettre la main à la pâte pour fonder le pays du Québec de se joindre concrètement à notre effort pour rebâtir le camp du OUI», a déclaré Jérôme Gagnon, président du Parti Québécois de Nicolet-Bécancour.
«Le camp du oui se rebâtira à travers une coalition de gens de tout horizon et le 25e anniversaire du dernier référendum est un rappel que le Québec tout entier a perdu, en 1995. Rien n’a changé, les raisons qui poussaient notre Nation à être pleinement libre sont toujours actuelles. Nous, nous pensons que ce sont les fédéralistes qui ont échoué à nous faire adhérer à leur projet, ce dernier quart de siècle», ajoutait le président du comté.
Le Parti Québécois est déterminé à susciter l’adhésion et l’engagement autour de sa valeur la plus fondamentale, la liberté. «Chaque jour de ce blitz de financement, pendant dix jours, nous mettrons en avant une raison de plus pour que finalement, le Québec devienne un pays, donc une raison de plus de contribuer au Parti Québécois pour nous donner les moyens d’atteindre notre objectif. Ce sont aussi nos gens dans Nicolet-Bécancour qui seront gagnants», concluait Jérôme Gagnon.